Sécurité oblige, pour empêcher Scoubidoo de me rejoindre encore au lit, j'ai été obligé de surélever le lit sur une double couche de parpaings.
En raison, probablement, d'un début d'arthrose, le petit chien n'arrive pas à sauter aussi haut, et n'a du reste pas une seule fois essayé de le faire, pas même du fauteuil que j'avais initialement prévu d'éloigner chaque soir de quelques mètres du lit.
Il va de soi que ce n'est pas sans un profond déchirement que Scoubidoo est obligé de faire son deuil du lit pour se concerntrer exclusivement sur le fauteuil, que je me félicite vraiment d'avoir trouvé sur la voie publique et ramené, une bonne semaine après l'adoption du petit monstre...
Quant à moi, je me sers de la face interne du parpaing supérieur gauche comme d'un marche-pied pour accéder au lit, puis je me rétablis non sans mal sur le matelas, car il ne faut pas oublier que mon genou droit, et sans doute le gauche aussi, est affligé d'une meniscose dégénérative.