Me voilà reparti pour une petite balade avec Papounet.
Il fait frisquet, aussi le petit manteau n'est pas un luxe superflu...
Quel bonheur de pouvoir se dégourdir les patounettes dans la nature que j'aime tant!
Cela faisait un petit temps que nous n'étions plus éclatés en rase campagne!
Après m'être bien empli les poumons d'air pur, je pose, pour Papounet, devant la porte d'entrée de la résidence.
Je baîlle car Papounet me saoule, par moments, avec son appareil photo...
Voici donc venu le moment d'étrenner l'autre petit manteau, poivre et sel, que m'a tricoté Jackye.
Il me va lui aussi comme un gant, et tombe à point nommé, car les températures ont singulièrement chuté ces derniers jours.
Il fait, pour tout dire, un temps de cochon...
Qu'il est bon d'emplir mes petits poumons d'effluves dont ma truffe a le secret!
Sitôt terminé le bel été indien que nous avons connu courant octobre, j'ai étrenné les petits manteaux que m'a tricotés Jackye, maman de mes jolis cousins Bouddha, Lilas et Chloé.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que Jackye a des doigts de fée, car les jolis manteaux me vont comme un gant.
Papounet ne s'est bien sûr pas privé du plaisir de me mitrailler avec son appareil photo.
Heureusement que je suis d'un naturel patient et compréhensif.
Quel bonheur de se retrouver, protégé contre la fraîcheur, dans la nature dont les effluves s'offrent à ma truffe en alerte perpétuelle...!
Il y a quelques jours, le facteur remit à Papounet un colis que Jackye, la maman de mes cousin Bouddha et cousines Lilas et Chloé m'avait destiné.
Outre une gentille bafouille, que Papounet choisit de partager avec vous, ce colis contenait deux superbes manteaux pure laine, faits mains, que je suis impatient d'étrenner dès que la température aura suffisamment baissé.
Mais ce n' est pas tout! Jackye m'a également offert de délicieuses friandises, que vous pouvez apercevoir sur la photo du bas.
Pour vous permettre de rendre visite à Jackye et mes jolis cousin et cousines, Papounet a inséré un lien sur lequel il vous suffit de cliquer pour entrer dans leur univers :
Encore un grand merci à toi, Jackye, ainsi qu'à Bouddha, Lilas et Chloé, qui t'ont suggéré cette bien charmante attention!
En rentrant de balade, Scoubi se roule dans le moelleux tapis de feuilles mortes.
Arrive le facteur, à qui je fais remarquer, en référence au manteau du petit chien, que mon cher loulou aurait fait un bon auxiliaire de La Poste...
Série réalisée le 17 novembre 2011
Il y a quelques semaines, Papounet recevait en Colissimo de ma tatie Béa, qui habite le Midi de la France, un joli harnais bleu vif comme cadeau pour nos deux années de vie commune.
Il faut savoir que cela faisait plusieurs mois que Papounet n'osait plus m'ôter mon précédent harnais, que je gardais donc nuit et jour, parce que les dernières fois qu'il avait voulu me l'ôter, je m'étais mis à grogner, et que cela lui rappelant de mauvais souvenirs...
Papounet écuma, mais en vain, les animaleries locales ainsi qu'Internet, avec l'espoir de me dénicher un harnais qui se clipse à gauche et à droite.
Jusqu'au jour où ma tatie Béa téléphona à Papounet pour lui dire qu'elle était tombée sur un magasin où on les commercialisait, mais qu'il lui fallait connaître mes mensurations.
Contrairement à mon précédent harnais, à un seul et unique clips, qui m'obligeait à lever la patte avant opposée, celui-ci ne nécessite plus que je lève la patte, ce qui est appréciable quand les articulations commencent à faire souffrir et incitent donc à grogner. Papounet m'enfile mon nouveau harnais prestement par la tête, et va tout simplement chercher les lanières sous mon ventre pour les clipser sur chacun de mes flancs. A noter la présence de deux sécurités (dispositif orange) empêchant l'ouverture accidentelle du harnais.
Cette vidéo récente vous permet d'examiner mon beau nouveau harnais et les sécurités orange. Cerise sur le gateau, Parrain joue à cache-cache derrière un arbre, et moi, je fais entendre ma jolie voix. Document à découvrir, donc, avec le son...
Au sortir du studio, Scoubidoo pose, dans les communs, avec le joli manteau orange que je lui ai également offert pour marquer nos deux premières années de vie commune.
Devant la résidence, le joli manteau se confond presque avec le roux des feuilles mortes.
A peine arrivé dans la rue, le petit père se met à marcher d'un pas alerte, ce qui complique singulièrement la prise de vues, car il faut le maintenir dans le champ et ne pas se tordre la cheville sur un obstacle que l'on n'aurait pas vu à temps.
Série prise le 9 octobre 2011.